Émotions et activités professionnelles et quotidiennes (Cahour et Lancry, 2011)

th_742_l2041Les émotions marquent la plupart des activités humaines. Elles surgissent dans diverses situations, d’ordre privé ou social. Elles accompagnent de nombreux comportements. Il n’y a donc pas de raison de penser qu’elles puissent être absentes des situations de travail et autres activités complexes. Elles en sont parfois même une des dimensions caractéristiques, socialement attendues comme le sont les manifestations émotionnelles signant un exploit sportif, un succès ou un échec professionnel, ou encore une situation de tension.

Ce numéro spécial du Travail Humain a donc comme objectif de montrer en quoi et comment les émotions et les activités professionnelles ou quotidiennes sont liées.

L’activité, son analyse et sa place centrale dans les recherches et les interventions ergonomiques ont donné lieu à de nombreux travaux que nous ne rappellerons pas ici. En revanche, la mise en perspective des émotions avec cette activité suppose que soient précisées les caractéristiques majeures des émotions pour que l’on puisse mieux saisir ensuite ses interactions étroites avec les situations de travail mais aussi de mobilité ou d’usage, et l’activité qui y est déployée.

> Lire l’article complet sur le site du CAIRN.info

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Émotions, organisation et management : une réflexion critique sur la notion d’intelligence émotionnelle

Par Jean-François Chanlat

Depuis quelques années, le monde de la gestion, notamment anglo-saxon, a développé un fort engouement pour les émotions (Raz, 2000 ; Briner, 1999 ; Askhenasy, Zerbe et Hartel, 2000 ; Fineman, 2002 ; Payne et Cooper, 2001 ; Noon et Blyton, 2002).

Ce mouvement touche à la fois les entreprises, les cabinets de conseils, les éditeurs, les journaux, les magazines spécialisés, les revues scientifiques et professionnelles, les programmes de formation et les écoles de management. Il suffit de procéder à une simple recherche sur Internet pour s’en convaincre aisément.

On retrouve des centaines de milliers d’entrées sous les rubriques : Emotion intelligence and management, Emotion and organization, Emotion at work, Emotional labour, etc. Dans les autres pays, notamment francophones, il existe également un mouvement dans ce sens, notamment dans certains programmes de formation en gestion très influencés par la production américaine.

> Lire l’article sur le site du CAIRN (Revue Travailler, 2003)

Plan de l’article

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Présentation « Gérer les tensions en entreprise »

Gérer les tensions en entreprises

Université de Paix, Namur, le 10 mars 2016

Plan de la présentation

Vers plus de bien-être au travail ?

  1. Stress, burn-out, absentéisme, tensions entre collègues, résistance aux changements
    • Coûts et impacts sur la compétitivité
  2. Une obligation légale
    • Bien-être et prévention des risques psychosociaux
  3. Une demande croissante
    • Des compétences et un cadre qui augmentent votre efficacité

Présentation de l’offre UP Entreprise

  1. Des objectifs
  2. Une expertise
  3. Une équipe pluridisciplinaire
  4. Une offre de formation adaptée

Vers plus de bien-être au travail ?

1. Stress, burn-out, absentéisme, tensions entre collègues, résistance aux changements

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Coûts et impacts sur la compétitivité du stress au travail

Le stress au travail touche plus de 6 belges sur 10

Source : HR World

Stress et absentéisme

Le stress responsable de plus d’1/3 des jours d’absence pour maladie

Les problèmes de régulation émotionnelle, première cause d’absentéisme pour raison médicale

Coût moyen pour l’employeur = 3 750 € par travailleur et par an

Une dépression = en moyenne 32 jours d’absence du travail

Le présentéisme est tout aussi problématique

Sources : HR WorldPrévention au travailVan Der Klink & al.Brun, J-P., ULaval

Turn-over

« Les employés ne quittent pas leur job, mais leur manager »

(Forbes, 2012)

Le leadership, dans le prisme des sciences sociales

« Par « paresse intellectuelle », les acquis des sciences sociales, qui éviteraient bien des erreurs, sont ignorés par des dirigeants »

(François Dupuy, cité dans L’Usine Nouvelle)

Des émotions au quotidien

Vous vous mettez en moyenne 2 fois en colère sur une journée de travail

Parfois, cette colère cache de l’anxiété

Or, « votre fatigue n’est pas liée à ce que vous faites, mais à ce que vous ne dites pas »

Sources : Terrafemina, 2013Huffington Post

2. Une obligation légale

Bien-être et prévention des risques psychosociaux : que dit la loi ?

Source : Risques psychosociaux au travail, SPF Emploi

« L’employeur est tenu de prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques psychosociaux au travail, pour prévenir les dommages découlant de ces risques ou pour limiter ces dommages »

Le cadre légal

Texte coordonné des articles modifiés de la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l’exécution de leur travail

La loi sur le bien-être

Les lois du 28/02/2014 et du 28/03/2014 ont modifié la loi du 04/08/1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l’exécution de leur travail

Ce chapitre fixe désormais un cadre général pour la prévention des risques psychosociaux au travail là où auparavant il ne concernait que la violence et le harcèlement moral ou sexuel au travail

Texte de l’arrêté royal du 10 avril 2014 relatif à la prévention des risques psychosociaux au travail

L’Arrêté royal du 10/04/2014 relatif à la prévention des risques psychosociaux au travail

Remplace l’A.R. du 17/05/2007 relatif à la prévention de la charge psychosociale occasionnée par le travail

Il exécute le chapitre modifié de la loi sur le bien-être et contient des dispositions qui, entre autres, concernent l’analyse des risques et les mesures de prévention

3. Une demande croissante

Des compétences et un cadre qui augmentent votre efficacité

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Efficacité et émotions

Ambiance de travail, autonomie & qualité des rapports humains sont souvent cités avant le salaire dans les critères de motivation

Corrélation entre les émotions positives fortes ressenties par les salariés et les résultats financiers de l’entreprise

L’intelligence émotionnelle du manager prédit mieux la performance que l’intelligence cognitive générale

Sources : Cherret de La Boissière & Delabroy (2010) – Towers Perrin (2002) – Hanges (2008)

L’équipe parfaite selon Google

Ce que Google a appris de sa quête pour construire l’équipe parfaite

Les normes de fonctionnement d’une équipe ont plus d’impact sur l’efficacité que les « profils » de ses membres

  • Equality in « distribution of conversational turn-taking »
  • High « average social sensitivity »

La sécurité psychologique des membres d’une équipe a plus d’impact sur l’intelligence collective que les intelligences (QI) individuelles qui composent l’équipe

Source : New-York Times (2016)

Des conditions valorisées

Les cadres privilégient les conditions de travail (comme la reconnaissance) au salaire

Sources : FocusRH.comGrands Dossiers numéro 12 de Sciences humaines sur « le malaise au travail » (2008)

Les 5 ingrédients de la qualité de vie au travail

De nombreux domaines d’application

Entre autres…

  • Au quotidien
  • Travail d’équipe, éventuellement en cas de tensions, de conflits
  • Recrutement
  • Relations-client

Sources : Parlons Recrutement, par Michael PageSDI (Indépendant et entreprise)CCI Mag

Présentation de l’offre de formation UPentreprise (BusinessUP Training)

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  1. Des objectifs
  2. Une expertise
  3. Une équipe pluridisciplinaire
  4. Une offre de formation adaptée

1. Des objectifs

  • Prévenir les risques de burn-out, de démotivation
  • Dépasser les difficultés relationnelles et émotionnelles, diminuer la pression, le stress et les tensions en contexte professionnel
  • Développer des compétences communicationnelles transversales
  • Améliorer le bien-être, la coopération et la cohésion dans des équipes de travail

2. Une expertise

Premier centre de formation à la gestion de conflits en Belgique

3. Une équipe pluridisciplinaire

  1. Gestion du stress, des tensions et des émotions (axe individuel)
  2. Communication, écoute et assertivité (axe interpersonnel)
  3. Cohésion de groupe, coopération et intelligence collective (axe groupal)
  4. Accompagnement du changement en contexte professionnel (axe organisationnel)

> L’équipe

4. Une offre de formation adaptée, au service de votre entreprise

Notre offre se décline en 4 axes

  • Stress, burn-out, démotivation – Intelligence émotionnelle
  • Tensions et conflits – Techniques de communication
  • Difficultés à collaborer – Intelligence collective, synergie d’équipe, cohésion de groupe et coopération
  • Freins et résistances au changement – Accompagnement du changement

Nous intervenons sur mesure

Vous pouvez également introduire une demande d’évaluation gratuite

> Nos formations

Powerpoint : UP Entreprise : Formations pour gérer les tensions en entreprises

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Ce que Google a appris de sa quête pour construire l’équipe parfaite

Traduction résumée d’un article du New-York Times (2016).

« Qu’est-ce qui fait qu’une équipe est efficace ? » s’est demandé Google, qui a ensuite dépensé beaucoup d’argent pour le découvrir.

La société Google pensait qu’il suffisait de réunir des individus extrêmement performants. De nombreuses idées reçues ont été testées, analysées… et plusieurs (notamment les manières de composer les équipes, d’y interchanger les « profils individuels ») se sont avérées fausses.

Five years ago, Google — one of the most public proselytizers of how studying workers can transform productivity — became focused on building the perfect team. In the last decade, the tech giant has spent untold millions of dollars measuring nearly every aspect of its employees’ lives […]

The company’s top executives long believed that building the best teams meant combining the best people. They embraced other bits of conventional wisdom as well, like ‘‘It’s better to put introverts together,’’ said Abeer Dubey, a manager in Google’s People Analytics division, or ‘‘Teams are more effective when everyone is friends away from work.’’ But, Dubey went on, ‘‘it turned out no one had really studied which of those were true.’’

[…] No matter how researchers arranged the data, though, it was almost impossible to find patterns — or any evidence that the composition of a team made any difference.

[…] Most confounding of all, two teams might have nearly identical makeups, with overlapping memberships, but radically different levels of effectiveness. ‘‘At Google, we’re good at finding patterns,’’ Dubey said. ‘‘There weren’t strong patterns here.’’

L’équipe de chercheurs et analystes de Google s’est alors intéressée aux règles, au cadre de fonctionnement, et plus largement aux normes d’un groupe, que ces normes soient explicites ou implicites. Après une année d’observation, ils sont arrivés au constat que ce terrain est sans doute plus fertile pour comprendre les différences de performance entre les équipes :

After looking at over a hundred groups for more than a year, Project Aristotle researchers concluded that understanding and influencing group norms were the keys to improving Google’s teams.

[…] ‘We had lots of data, but there was nothing showing that a mix of specific personality types or skills or backgrounds made any difference. The ‘‘who’’ part of the equation didn’t seem to matter.’

En quelque sorte, le « Quotient Intellectuel » du groupe ne dépend pas tant des QI de ses membres que de leurs règles de fonctionnement. Une de ces règles est la répartition équitable de la parole. Autre constat : les membres des groupes performants ont tous un haut taux de « sensibilité sociale », c’est-à-dire d’attention empathique à ses collègues :

First, on the good teams, members spoke in roughly the same proportion, a phenomenon the researchers referred to as ‘‘equality in distribution of conversational turn-taking.’’

[…] Second, the good teams all had high ‘‘average social sensitivity’’ — a fancy way of saying they were skilled at intuiting how others felt based on their tone of voice, their expressions and other nonverbal cues.

Les chercheurs regroupent ces deux caractéristiques (la sensibilité sociale moyenne et l’équité dans la distribution de la conversation) dans une sorte de sentiment de sécurité psychologique, c’est-à-dire dans la croyance partagée par les membres que chacun peut prendre la parole de façon « safe », tranquille, sans risquer de mettre à mal les relations interpersonnelles. Il s’agit d’une forme de confiance. Il y a un espace sécurisé dans lequel il est permis de « prendre des risques » par la prise de parole.

‘As long as everyone got a chance to talk, the team did well. But if only one person or a small group spoke all the time, the collective intelligence declined.’

[…] The paradox, of course, is that Google’s intense data collection and number crunching have led it to the same conclusions that good managers have always known. In the best teams, members listen to one another and show sensitivity to feelings and needs.

En bref, la sécurité psychologique des membres d’une équipe, soit l’assurance d’être traité humainement (avec respect, empathie et sensibilité) par ses collègues, a plus d’impact sur l’intelligence collective que les intelligences individuelles qui composent l’équipe…

> Lire l’article complet sur le site du New-York Times (2016)

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« Les employés ne quittent pas leur job, mais leur manager »

One day when I was out getting a coffee, I overheard a man talking on his cellphone.

“We need to be stricter with our hiring practices next year,” he said. “We want to keep them past a year.”

I wanted to turn around and tell him, “Maybe you don’t need to be stricter with your hiring practices. You can bring them in but you’re not keeping them. It could be your corporate culture.”

Managers

Authors Marcus Buckingham and Curt Coffman said in their book, First Break All the Rules: What The Worlds’ Greatest Managers Do Differently, that people don’t leave jobs, they leave managers.

> Lire l’article (Forbes, 2012)

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Souffrance au travail : oubliez le psychologue !

Entre 2007 et 2014, la psychologue du travail Lise Gaignard rédige des chroniques à partir d’entretiens menés dans son cabinet. Elle souligne les phrases les plus affligeantes, les retape, et change les prénoms. Aujourd’hui réunis dans un ouvrage, Chroniques du travail aliéné, ces textes sont poignants : la psychanalyste a du mal à relire son livre. Elle n’est pas la seule : « On m’a reproché de dire du mal des travailleurs », raconte-t-elle.

Si son texte suscite des réactions vives, c’est qu’il critique la dépolitisation de la souffrance au travail : à ses yeux, le changement le plus frappant dans le monde du travail en France n’est pas « la transformation – pourtant importante – des modes de management, ni les catastrophiques techniques d’évaluation pipées, ni la mondialisation. Pour moi, la différence majeure, c’est qu’en France, quand on est victime d’une injustice épouvantable au travail… on demande à aller chez le psy ! ».

> Lire l’article complet

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Burn-out : « Quand on n’a rien d’autre que son travail, on ne se protège pas »

En plateau, le docteur Patrick Légeron, psychiatre spécialiste du stress en entreprise, revient sur le burn-out.


Burn-out : « Quand on n’a rien d’autre que son travail, on ne se protège pas »

Le burn-out, l’épuisement au travail en français, est un phénomène encore tabou en France. Invité sur le plateau de 13 Heures, le docteur Patrick Légeron affirme observer une recrudescence de l’épuisement au travail, notamment chez les patrons. Mais le phénomène ne concerne pas que les patrons. Il concerne tout le monde.

« On peut dire que le burn-out a deux facteurs de cause : le premier est l’environnement de travail […], mais aussi l’autre élément qu’il ne faut jamais oublier, c’est les aspects de personnalité, le surinvestissement, c’est-à-dire être complètement impliqué dans son travail« 

> Lire la suite sur le site de FranceTVinfo

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Bien-être au travail : votre fatigue n’est pas liée à ce que vous faites, mais à ce que vous ne dites pas

La semaine de la qualité de vie au travail organisée par l’Anact (l’Agence Nationale de l’Amélioration des Conditions de Travail) a mis en avant le débat national sur le bien-être au travail. Nous avons à ce sujet une conviction : la fatigue au travail n’est pas liée à ce que l’on fait, mais à ce que l’on ne dit pas.

Qui n’est pas sorti « vidé » d’une réunion pleine de sous-entendus, de non-dits et d’implicites antagonismes drapés dans le positivisme de rigueur ? Qui ne s’est pas retrouvé seul et blême après avoir subi seulement quelques instants de critiques ou de reproches sans avoir osé se défendre ni su quoi dire ? Qui ne s’est pas trouvé bête et harassé après ce rendez-vous client mal démarré, mal continué et mal terminé parce qu’il n’a pas osé dire par peur de perdre ? Qui n’a pas ensuite, pour faire baisser la tension, déversé tout ce flot d’émotions non dites sur le moment, le soir auprès de ses proches ? Ou, pire encore, ne l’a pas gardé pour lui comme une épuisante prison ?

Oser dire en l’instant, savoir dire comme il faut, sans paraître brutal, arrogant ou servile n’est pas en soi difficile. Mais cela nécessite de changer le logiciel de notre manière de parler, d’écouter, et d’interagir avec autrui […]

> Lire la suite sur le site du Huffington Post

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Les cadres privilégient les conditions de travail au salaire

Soucieux de leurs conditions salariales, les cadres ? Pas tant que cela, à en croire l’étude Robert Walters parue cet été. En effet, « l’environnement de travail, le contenu de la mission et les perspectives d’évolution sont devenus des critères essentiels », explique Jean-Pierre Baudinat, Senior Manager de la division RH chez Robert Walters France

[…] Les cadres attendent de construire du lien social sur le lieu de travail et veulent avoir la possibilité de communiquer avec leurs collègues

[…] Leur but est ainsi de s’engager dans un travail collaboratif et de bénéficier d’éléments fédérateurs au sein de l’entreprise pour favoriser l’esprit de « team building ». Ils se montent soucieux de ce sentiment d’appartenance qui, au-delà de la cohésion d’équipe, crée du lien et favorise le partage de bonnes pratiques

> Source et suite de l’article sur FocusRH.com

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Des tensions au travail ?

L’Université de Paix (Prix Nobel de la Paix 1958) lance une nouvelle offre de formation sur mesure axée sur le développement des compétences relationnelles au travail, et destinée aux organisations et entreprises.

Cette offre est susceptible de vous intéresser et/ou d’intéresser vos contacts professionnels. N’hésitez donc pas à nous contacter et à diffuser l’information.

Ces formations répondent aux objectifs suivants (sur les liens entre les compétences relationnelles, émotionnelles, la performance et le bien-être au travail, consultez aussi notre espace documentaire) :

  • prévenir les risques de burn-out, de démotivation et réduire l’absentéisme
  • dépasser les difficultés relationnelles et émotionnelles, diminuer la pression, le stress et les tensions en contexte professionnel
  • développer des compétences communicationnelles transversales, utiles à tout travailleur, cadre ou manager
  • améliorer le bien-être, la coopération et la cohésion dans des équipes de travail

Pour quoi faire ?

Plusieurs organisations sont aujourd’hui conscientes de l’importance de la gestion des tensions, la gestion du stress ou encore le bien-être en situation professionnelle.

Par ailleurs, depuis 2014, « l’employeur est tenu de prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques psychosociaux au travail, pour prévenir les dommages découlant de ces risques ou pour limiter ces dommages » (Cf. La prévention des risques psychosociaux et le bien-être au travail du point de vue réglementaire).

Voir des vidéos de présentationDes ressources documentaires à diffuser

Découvrez et partagez les articles de fond produits par le Pôle Business Training sur les relations et le développement de compétences relationnelles en entreprise, ainsi que notre veille documentaire (études, articles de revues, etc.) sur le sujet. Retrouvez plus de 40 articles experts dans notre espace documentaire.

Voir des vidéos de présentationUne expertise

L’Université de Paix asbl travaille sur le développement des compétences relationnelles depuis plus de 55 ans.

Notamment pionnière dans le domaine de la CNV et de la médiation, elle organise désormais ses activités en différents Pôles d’expertise.

Suite à une demande et à une expérience croissantes auprès des organisations, le Pôle Business Training a vu le jour.

Nous vous remercions d’avance de transmettre cette information à vos contacts professionnels.

Si vous souhaitez vous-même en savoir davantage, consultez le site http://www.universitedepaix.eu/business et ses nombreuses ressources.

Nous restons à votre disposition pour toute demande, remarque ou suggestion.

Université de Paix - Pôle Business Training
Fondée par Dominique Pire, Prix Nobel de la Paix 1958
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